Un moyen pratique de vous informer de nos aventures pour ce nouveau départ sur le caillou de la Réunion!Nous essaierons de tenir à jour ce blog dans la mesure de notre temps libre en espérant qu'il vous fera sourire, vous réchauffera (peut-être!) mais surtout vous donnera l'envie de venir nous rendre visite au soleil. Cécilia et Yoenn
6 décembre 2010
Langevin
A la sortie de Saint-Joseph, nous prenons la direction de grand galet, et nous remontons pendant une bonne vingtaine de minutes en voiture, franchissant des passerelles, la route dans cette région est bordée d'exploitation de litchi, certains arbres tellement garnis offrent leurs branches à hauteur d'homme, appréciable, le litchi n'a rien à voir avec celui de métropole, son goût est vraiment meilleur!
Nous montons d'abords à la cascade de Grand Galet, cascade magnifique, accessible avec un peu d'escalade, mais son orientation fait qu'il est préférable pour s'y baigner d'y aller dans la matinée pour profiter du soleil, sans quoi l'eau fraîche montagneuse peut vous refroidir ;) Cette cascade est recommandée après les périodes de forte pluie car son débit peut-être triplé, ce qui la rend impressionnante, bien sûr je parle ici d'observation, la baignade étant interdite en cas de pluie!
Nous ne nous sommes pas baignés mais avons préféré continuer à monter jusqu'au village de grand galet, petit, fleuri, et plein de charme, au milieu des montagnes, perdu, un silence magique entouré de bananiers, d'avocatiers et de litchi. Quelques cases créoles cachées par les plantes, la route s'arrête net au bout du village et il est temps de faire demi-tour.
Nous poursuivons en sens inverse pour voir les bassins en contrebas, nous nous arrêtons au niveau du bassin trou noir où nous faisons quelques clichés de cette grotte imposante qui surplombe le cours de la rivière.
Finalement nous faisons une halte au niveau du bassin bleu! Nous sommes entourés d'odeur de zamal, weed locale, que deux jeunes créoles arrivés avant nous fument tranquillement. La cascade est accessible sans trop se mouiller (à hauteur de tibia) ce qui permet pour les frileux d'éviter le bain frais. Agréable moment, quelques saltos, une fébrile trempette des mollets pour Cécilia et nous repartons mais cette fois vers Saint-Philippe.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire